mardi 29 décembre 2009

Citatation

"A good song should make you wanna tap your foot and get with your girl. A great song should destroy cops and set fire to the suburbs. I'm only interested in writing great songs."

Tom Morello
J'ai besoin, j'ai besoin
J'ai besoin d'espace pour respirer
D'espace pour m'effacer
Me collatérer

J'ai besoin de me réfugier
De me rebeller
Me cohérentiliser
Au delà de la pensée

L'on à déjà commencer à m'imbéciliser
Le ridicule qui ne tue pas ne rend pas plus fort
Il n'embrase que les mauvaises braises
Et souffle les cendres loin des jardins

Le mugissement du vent, rugissement durant
Caquettement de la poulette sans ailes
Battant de ses plumes pour mieux s'en aller
Dans le lointain désespérant

Me voîla emprisonné dans le donjons des pensées
Quel malheur, se dit le gardien de prisons
Deux rations pour le pauvres endenté!
Et voila, la pitié ayant raison de la bonté
La clé se retrouve au milieu de la paté
Que moi, le pauvre diable, ne tarde pas d'avaler
«Pauvre toi, me dit alors le sorcier.
Le chemin vers la liberté, tu devra le chier!»

Vision à travers les âges

Do you remember how happy we were in your youth, to grow up and become an adult? Are you still haunted by these excited eyes that were amazed by everything they gazed upon? I am. I look behind, at the me from all those years ago, and I imagine how he would react if he saw his older self that I am now, whose youngish dreams are now laying, broken, smashed, at the side of the road.

In my mind, I see him staring at me with a fearful expression in his innocent eyes, refusing to believe that the boy in front of him, who once dreamed of being a scientist, an inventor, someone who would change the world into a better place for all to be, is now just living trying to make it though each day without breaking into pieces. And I know he wouldn't be able to believe, to accept the fact that his present self don't even dare thinking about his own future.

To grow up is a wonderful, we were taught to think. But when looking behind is scarier than looking blindly ahead, there is reason to wonder if we really live through life like on a highway, or like a car on full speed trying to stay on the road while the road behind is crumbling at the same speed. The past, it seems, could be more of a cliff than the future could ever be.

samedi 26 décembre 2009

25, minuit 26. 1-2 +40

Saoul d'aplomb
Quarante-cinq dégrées de profond
Dérangé, scientifiqué
Je me mémorise ces lueurs de vanité

Ou se cache ces derniers gens
Qui regardent de loin la lueur des boréales
Espérant leurs désirs vrais
Et les dieux dans leurs paradis, mécontents

Nos voulions tant de tous cela
Même si a travers les voiles
L'on se cachaient tout nos inspirations

Je coure après les fantômes du bonheur
Reflété à travers les beautés de mon paysage
Et le malheur de mon karma
Que je soumet à ma propre volonté

Mais en même temps, je désire ces corps
Même à travers mes cauchemars, mes délires

Et pourtant je veux toujours me libérer
De ces démons du passé
Pourquoi ne puis-je pas
fuir ces délires dépassés?

J'aimerais pouvoir tout mettre au clair
refuser mon passé, accepter mon futur
Et même pousser à sa limite
Les dernières volonté de mon rêves


jeudi 10 décembre 2009

Bataille scolastique

Marchant vers la guerre
Le cahier grand ouvert
Trébuchant sur les mines
Les effaces s'arrangent pour ne pas laisser de trace

Tout est blanc, tout est noir
Dépendant de quel heure tu ouvre tes yeux
Dépendant à quel lueur tu ferme ton esprit
Et ce vent cinglant, il te rend cinglé

Et les lignes marchent une par une
Tous dans les feuilles, tous dans les nez
Pour pouvoir enfin parcourir
Ce chemin toujours aussi plombé
Par le bois et les pousses-mines

Et rencontrant derrière le bureau
Une chicane entre ciseaux et aiguise-crayon
Qui aura raison, qui sera tordu
Tout dépendra de la maitresse

(pour ceux interessé, non, je n'ai aucune substance illicite dans le corps XD)

mercredi 9 décembre 2009

Écoeurantisme abasourdisant

(attention, paroles et vérités dérangeante, lire à vos risques puérils)

J'ai besoin de me vider le coeur de mes tripes. Mon estomac se déchire, le bile s'y agenouille. Que faire quand le monde tout entier devient une masse de vomi? Un grand tas de marde.

L'odeur ne nous relique pas. Nous nous sommes évanoui dans ce champs de fumier, tentant de sentir le bonheur qui est supposé en sortir. Et puis, nous nous sommes agenouillé, convaincu que dieu avait venu. Car dieu pue. C'est bien connu. Dieu vient toujours à nos côtés. Ca doit puer à la fin. Et le désert s'en croit toujours responsable? Non de dieu, ya juste un chameau qui doit puer plus que dieu!!!!


Et peut-être les égos. Ya rien de plus dégueulasse de voir quelqu'un en train d'essayer d'embobiner autour du doigt une autre alors que l'autre ne lui a même pas tendu son fil. Commence à être écoeuré, non?

A pis fuck off, jai rien a foutre de ta galanterie. J'ai juste envie de comprendre comment on fait pour ne pas comprendre, comment entendre quand ta juste de la marde entre les deux oreilles.

Les dogmes ne sont pas juste le jouet de dieu ca d'l'air. En tout cas, en défaut d'en être, on se comporte comme.


Dernier sanglot

Caché dans le sang
D'une beauté sans dignité
Retrouver le froid d'une rentrée
S'écoulant dans les dernières larmes

Podicule d'une sensibilité écarté
Étouffant sous le gaz d'une vengeance
Que le sang vienne, qu'il trépide, qu'il se repousse
Dans le dernier des jeudis sans semaines

Et leur tiges s'en font, elles aussi
Transparessant à travers les écumes immobiles
Dans toute leur beauté, toute leur fragilité
Mobilier immobile d'une saison sans caresse

Le tapage devient sourd, le monde complet s'en réjouit
Maintenant que le son est devenu plomb, vaut-il mieux s'en ravir
D'une sourdine qui n'arrête pas d'hurler
Que demain serait toujours aussi in-important qu'aujourd'hui

Tigre de glace, œsophage d'acier
Poubelle de fer, compost de rosier
Tous dans la paix, imposé par les rejets
Tous dans la guerre, cette paix mentale
Plus besoin de s'époumoner, l'on a qu'à s'étriper

Plus de se lever, l'on a qu'à se se laisser tomber
La facilité est tellement plus docile
À ce tête-tête s'entrechoque nos ventres
Et dans le coin, le monde s'y entrevoit
Couronné de la chair et du sang des derniers innocents

mardi 24 novembre 2009

Allégorie métoricienne

C'est l'histoire d'un enfant. C'est l'histoire d'un homme. C'est l'histoire d'un peuple, d'une société, d'une civilisation.

C'est l'histoire d'un dieu.

L'on s'en rappelle car l'on ne l'a pas laissé mourir. Son sang coule toujours dans nos veines, son sang baigne toujours dans nos eaux. Car nous ne pouvons le laisser mourir. Nous ne devons pas.

Et le cri, l'hurlement se fait toujours entendre, plus fort, plus loin, plus poignant, plus sanglant. L'on se fit à son onde pour le suivre, le rejoindre. Il est l'âme de tous, et la mort d'un futur qui de toute façon n'aurait jamais pu exister.

Mais alors pourquoi, pourquoi pleurons-nous? Pourquoi ne fuyons-nous pas? Que se passe-t-il entre ses mots balbutié dans l'étouffement et nos vies si pleine de non-sens? D'un seul homme, tous se mettent à courir, d'un seul homme, tous se mettent à mourir. Et au milieu de cette foule, emporté par la masse, nos cerveaux peinent à comprendre la logique de nos actions.

Car quelles raisons seraient pour sacrifier des millions de vies pour une personne dont l'existence reste un énigme?

L'âge de la raison est passé, mes chers frères. Bienvenue dans l'âge de la terreur.

La terre du milieu est ici. Pas besoin de chercher bien loin, regarder dans votre cours, cela ne prendra pas bien longtemps.

mercredi 11 novembre 2009

fuite tendancielle

Je suis habitué de courir après les rêves, je m'y suis habitué.

Car s'y j'arrêterais, c'est que je les aurais tous rattrapés
Lueur
Transcendant le ciel
Découpant la mer
Le paradis dans tout sa beauté

Une pétale s'y repose.

Les champs se coupole et fanfaronne
S'y déguisant et s'y chantant
Tournoyant, s'enfuyant
D'une douce main reposée

La beauté s'y cache d'un air gêné.

Pourtant caractériel, pourtant désirée
Désirable d'une belle chevelure de mousse
Portant les anneaux de l'immortalité
L'immoralité pourtant tellement sage

Y tendre sa main, y recueillir les grains empoisonnés.

Et le murmure s'y fait telle un songe
Les caresses tournoyant autour des feuilles enracinantes
Le matelat y est doux et fort, dormir ne ferait que la gaspiller
Cette sensation qui l'envahit telle un ange

Tout est si calme, la tempête n'est jamais arrivé.

à travers les embranchages, la naissance est annoncé
Deux coups de pinceaux exactent le compte
Le bruissement dans la manche, le vent dans les rangs
Le sourire toujours plus grand que la réalité

La plongée s'y fait si doucement, les vagues en brisent la silhouette.

Et dans le ciel s'enfantent les dernières âges.

La noirceur s'est dissipé, le bonheur retrouvé
Une coupe de vin, un dernier dessein
Une dernière larmes, un dernier charme
Le soupir qui brise le silence du vent

La noyade y est toujours aussi doux.

Et dans les bulles qui fuit vers le fond
Le reflet de l'enfant tout juste né
Seul parmi les champs d'oseilles et de blé.
(attention, écriture automatique. ce qui suit peut ne pas faire de sens
lire à vos risques puérils)

c'est cette dernière phrase, ce dernier mot qui blesse le plus dans le labyrinthe des horreurs qui trécoulent sur le pendentif des relaches. Et dans le sécrétariat déshumainement débaptisé réalité, l'on attend en fils une conversation qui se relachera quand demain leguera sa place à hier et que l'hiver sera toujours plus encombrant que le fils de religion qui s'écrache et s'arrache les derniers sanglots de leurs dieux maudits. Caractérisant les manques de bras et de ventre, travaillant pour la reconstruction d'une plage de feux qui cachent les horreurs torrentielles des confins matérielles, l'on se dirige vers la fin, le dirigeable prêt à cracher son petard, a incendier la mer et écraser les montagnes.

Sur le devant un cheval, sur le derrière un postérieur, tout aussi secret que leur dernière promenade. L'on se murmure à l'oreille, et l'on se vante des conquêtes appréciés par les gens du postérieur, ceux de l'intérieur et même ceux qui ne veulent que des dessinateurs. Pourquoi se vouloir à soi-même quand son intello le fait si bien? Si dans le creux de la vallé, la naissance s'y fait naitre, la mort doit s'y rendre pour baptiser les nouveaux nées avec son sceptre de sang et de caillot. Peu-être aussi dans la rage qui l'effleure et demeure, l'on se doit de batir une forteresse de glace et de sens, sans peut-être pour une fois y verser du sang et du vin, dans la crypte ou tout est né.

Mais le soleil s'en fait toujours plus forts, et les images en masses se cachent les unes des autres, cache-cache intérieur. La dorure s'en prend à la noirceur, non pas pour la faire fuir, mais pour l'embrasser. De tout son sens, le soir fait place au midi, et le matin, indigné, s'en va bouder dans le coin de la lune pendant que le soleil se proclame destructeur et menaceur. Peut-etre voulaient-ils toujours devenir un, alors que le schisme qui partour le ciel se range dans le sang coulé depuis le debut du fini et de l'infini, toujours inachevé. Le dernier scarabée est déjà tombé, le dernier tombeau scellé. Et dans l'horreur du cri levant, l'on se fige avant de mourir, un sourire béant dans la face.

La clôture qui nous enfermaient s'etait enfin brisée, et dans notre débauche nous nous sommes rendu compte que le dernier des anges n'avait pas voulu de la mort mais l'assonbrissement des gens parcouru son sang et son rang.

Et maintenant nous nous infiltrons de l'autre côté de la rue, du mausolé des âmes.

Gloire à celui qui nous à créé, pauvre crétin, il n'a jamais su quelle connerie il a engendré.

Mais les monts s'empilent et les plateaux dérangent. Dans le nouveau monde des hommes, les femmes ne sont toujours pas présente. Dans le monde des femmes, les homme sont tout autant dieux que rivals, déesses qui ont refusé de reproduire l'erreur d'une sibylle amoureuse. Les hommes ont du cran, dit-elle. Ils ne savent juste pas quand l'arrêter. Et ces lumières, si allechantes, qui dansent et parcourent les silhouettes des monstres métalliques, ne sont-ils pas découvreur de nouvelles horreurs?

Dans un sanglot criant, l'aigu hurlement des ans se mêlent aux dernières plaintes animales, et alors que l'on trucide froidement nos dernières pulsions bestiales, l'on se cachent les yeux et se bouchent les oreilles, la bouche grand ouvertes dans un dernier sursaut d'espoir.

Car on ne peut pas vivre sans passé, mais l'on peut toujours exister sans futur.

Et dans le dernier tutoyement du vent, la caresse se métamorphose en gifle, et d'un seul homme, tout ce qui était éternel tomba.

Et l'on se trouve désormais sans tutelle ni vignes, les ruines qui s'entourent de champs de blé et de vent.

vendredi 6 novembre 2009

Massacre assagi d'un monde dépravé
Douleureuse blessure d'une guerre mentale
Invasion sans invitation d'une dépravation virale
Terrorisme, le terreur visitant en touristes

Dans l'absolu, irréalité
Immatérialité, imbécilité
Éther s'échappe du ballon, s'étouffe dans votre masque
Que diriger maintenant que tous les contrôles ont pris le bord?

Et l'on se plaint, et l'on se craint
On divise, revise, sévis, dévit,
Crainte, feinte, plinthe, dinde
Nous nous crevassons dans le glacier

Et fuite, dans le carnage qui recouvre et découvre
Dans les couleurs se teigne un nouveau rang
Le sang ne fait que s'enfuir, pour mieux l'engloutir
Dans une montagne d'anges, les démons s'étranglent

Et l'on n'oublie pas les rongeurs, courant de leurs fines pattes
rejoindre le festin humains, videurs, plongeurs, cuisiniers
D'une nouvelle partie de ce spectacle bouleversant mais amusant
Les rires des gagnants s'échouant sur les carcasses des perdants

Caractériel caractérisé par leurs propres caractères
Nous nous en voulons de ne pas en vouloir plus
Et alors, dans un cri d'enfant, l'on décide que d'être grand
C'est d'avoir tout à l'instant présent

Et la fuite recommence, démence
D'un monde déjà porté sur la déchéance
Et l'on se pleure, et l'on s'ignore
Entranché dans ce monticule de déssicant

Et pourquoi vouloir toujours
Alors qu'on ne doit pas vouloir ce qui appartient au autres?
Pourquoi se battre pour gagner
Ce qui est à travailler?
Tant d'irrégularité, de singularité
Pour un monde qui nous empêche d'exister

Je suis le on du nous
Le caractériel d'une civilisation
Pourriture d'une idéologie massacrée
Par ses propres disciples
Attend le racleau, attend la pelle
Six pied sous terre, vingt pied dans les égouts
C'est là qu'on finit tous, sans mouvements
La musique qui s'y joue ne se trouve pas de plus belle
La marche funèbre d'une race qui s'extermine pour son propre plaisir
Rues, écharpes de béton et d'asphalte. Rues, serpents de fer et de sang, recroquevillant dans leur sueur de leur dur journée. Pour vous, pour tous ceux qui vivent dans le berceau de la lumière, ceux qui vivent dans le calme de leur vie préfabriqué, la rue n'est qu'une passerelle, un moyen de rejoindre le point B le plus vite possible. Mais pour une partie de ce monde, les rues ne sont pas qu'un chemin, c'est un voyage en soi, un monde qui n'a de limite que les gens qui y hantent leurs soirées et la nuit. Quand vous les voyez, les mots qui vous entrent dans votre tête, ces mots qui violent non seulement leurs sanctuaires mais aussi le votre, sont des hymnes de votre société, le reflet de vos incohérences mentales.

Et je regarde, vous qui vivez en plein soleil, et eux qui se réfugient dans la noirceur de la nuit, je vous observe de mon crépuscule, cette place où j'ai grandis et où, indécis, incompris, je continue de me réfugier. J'ai fui la clarté trop éblouissante du jour, mais je rechigne toujours à plonger dans le noir de la nuit, pour quelle raison? Peut-être est-ce à cause de mes principes gobés durant ce court temps où tout ce qui comptais, c'étais faire comme ce que la masse voulait, ou bien est-ce quelque chose de plus profond, de plus animal? Mais de là où je me tiens, moi le peureux, moi le lâche qui ne peut pas décider de faire partie d'un seul de ces deux mondes, je peux voir ce que seul la noirceur levante, la lumière tombante peut revéler: car c'est seulement à ce temps que les masques tombent pour que mieux on les remplacent par d'autres, et c'est pendant ce court moment que l'on peut voir le vrai visage d'une population, d'une société, d'une civilisation tout entière. La partielle vérité réside dans les courts moments qui trépassent du passé avant de fuir dans l'avenir.

Les rues m'appellent. Elle se cachent pour mieux resurgir, elle demandent pour qu'on puisse survivre le plus pire et le meilleurs de nous-mêmes. La rue est maître de nous encore plus que nous le sommes de nous mêmes. La rue est là, dans toute sa splendeur, dans toute sa froideur, dans toute sa laideur, dans toute sa chaleur. Quelque uns d'entre nous sont des enfants de la rues, mêmes si né dans le plus chic des terreaux ou la plus viles des villas.

jeudi 29 octobre 2009

ii: Ignition

Le vent courait dans les champs, ployant les plants dans une danse qui leur conférait beauté et grâce que jamais leur court existence aurait pu espérer posséder. De mourir en voyant une chose si belle, si spéciale, était ce que beaucoup pourrait vouloir comme dernier moment. Mais pour moi, de voir ces épis qui commençait à tourner au doré, murissant en toute lenteur, était quelque chose, alors que du haut de mes douze ans, je voyais ma vie fuir hors de moi. La douleur s'infiltrait tel un serpent, enveloppante, étouffante, brûlante.

Les aboiements semblaient de plus proche, les chiens reniflaient ma présence. Je les sentais excités, prêts à déchirer la vie hors de l'animal qu'ils percevaient au loin, en moi. J'entendais les hommes recharger leurs carabines, écarter les plants pour continuer à pister. Un grondement sourd s'élevait toujours au loin, tel une foule qui, dans la lumière couchante, éclairaient l'immensité cultivé à la recherche du monstre. Dans l'excitation du sang, la petit peuplade s'était rassemblé, prêt à nouveau à chasser démons, sorcières et tout ce qui bougeait. Le siècle des lumières semblait de nouveau s'éteindre en sang.

Et pourtant, au loin, très loin, on pouvait remarquer les gratte-ciels qui semblaient eux aussi braquer leur regard sans pupilles, rempli de mépris, sur moi, comme pour me décourager de tenter de les rejoindre, et dans leurs grandeurs, mais surtout dans leur emplacements.

Mais pourtant, contraint encore de fuir, je me dirigeais vers leurs présences, car dans leurs ombres et leurs âmes étaient ma seule chance de voir si le lendemain, vraiment, serait meilleur. Mais dans cette assurance se masquait mal la peur qui m'habitait. Car, dans cette même noirceur qui risquerait de sauver ma fourrure se cachait aussi mon passé, un passé qu'affronter serait suicidaire.

Mais mes pas continuer de prendre pied sur la terre cultivé, mes mains continuaient d'agripper à l'aveuglette les tiges et les arracher pour me propulser en avant, toujours en avant. La seule violence de l'acte aurait mis à terre toute personne, mais l'instinct pour moi avait pris la place, un instinct plus vieux que la race humaine tout entière. Mes lèvres s'étaient retroussé dans un rictus parfaitement canin, et le souffle entre mes dents était tellement bestial que mon humanité elle-même semblait avoir fui.

Les chiens furent soudainement lâchés, et leur odorat m'avait déjà trouver. Dans leurs courses effrénés et le bruit de leurs pattes foulant la terre humide, je senti une étincelle d'excitation traverser mon corps, réveillant mes muscles engourdis et mes os fatigué. Dans un dernier sursaut d'humanité avant de succomber à l'animal intérieur, je passais à mon le collier que j'avais tenu fermement dans ma main à travers toute cette folie. Puis, dans la nouvelle noirceur, loin des lampes et de lumière des hommes, je laissais tout ce qui me faisait humain disparaître dans le sang et la violence.

i: Dérision

Le miroir se déchire, repentissant tout ses cris dans ce cercueil d'inimité. Ma réflexion hurle elle aussi, ses traits se déchirant au couteau de l'esprit. Les hurlements me déchirait tel des coups de poignards, et ma peau se lardait de trous béants qui laissait entrevoir le néant entre les pores de ma peau. L'univers même semble s'en prendre à moi, la lumière se déformant autour de la masse morte qui me définissait désormais. On ne pouvait voir, mais tout était si éclatant, si brillant qu'il en brulait mes paupières.

Tout ce qui restait à la fin, était la carcasse vide d'une existence dont on avait refusé la réalité. Une seule larme s'y réchappait, et l'on l'a dévisageait tel l'humain à qui elle avait appartenu, elle aussi désisté de tout.

Dans ce massacre stellaire, le vide sonnait les dernières heures. Les spectateurs n'avaient aucune tristesse à partager, ils étaient déjà trop occupé à pleurer leur propres cadavres.

mercredi 28 octobre 2009

On se marche sur les pieds
Dérangé
Obligé
Futilité

Quand se dépasse et surpasse la lumière verte
Caressant le pneu du moteur
Une mélodie des moins romanesques
Mais toujours aussi enchanteur

Et d'un main on tranche la gorge
Du passé pour mieux révérer le futur
Qui s'en maudit et en déduit
Qu'une fourmi peut bien d'elle-même
Détruire le travail d'une nation entière

Et dans un dernier soupir, et son cœur qui expire
Elle nous maudit, nous géographit
Nous canonise, nous répudie
Elle se canarde aux milieu des outardes

Le vent sifflant toujours à la porte de la fenêtre

Illustrer, dévisager, embellir
Une réalité qui ne se fait que futilité
Dans l'ombre d'une futilité
Qui s'exclame réalité

Et l'on se meurt de se voir mourir, mais l'on rit de les voir périr
Jusque dans les cachots des dernières paix
Et des derniers jarrets
Potence, démence, revanche

Je me meurt les oreilles emplis de vide

Et survit dans l'Atlantide

Cachets décacheté cachetant tant de secrets
L'on s'invite à cette ronde infernale pour mieux y échapper
S'assurer que l'on ne peut que réaliser la vérité
D'un monde qu'on considère déjà sans possibilité

Curahee s'en réclame, donne moi une lame et je t'emnène

mardi 27 octobre 2009

Et un peu de politique!!!!


Ah, le sujet préféré de tout bon québécois: chiale beaucoup, fais rien pantoute. Mais je pense qu'un de nos problème est que nous prenons la politique trop au sérieux. Un peu de comique ne fait jamais de mal lorsqu'on parle de notre voisin d'en bas qui pourrait tout nous faire sauter à la tête. Si on reste sérieux, rien ne changera.

Alors, rions un peu!



(Dans la bulle: «Y'a environ vingt ans, j'me suis saoulé et j'ai baisé avec une poule. Je me demandais juste si t'étais mon fils»)


Cauchemar clownesque

On a tous déjà entendu dire qu'on a tous un tueur en soi, un dictateur, etc. Mais la chose la plus étrange que j'ai jamais entendu fut qu'on a tous un clown en soi.

QUOI???

Vous avez bien compris. On a tous un clown en dedans de soi. «Mais alors, cela veut dire qu'on a tous au fond de nous un clown avec une nez rouge et une grosse perruque multicolore qui ricane FAIS MOI PEUR!!?» Ben, pas exactement. Si je comprend bien (et je suis pas sûr du tout que c'est le cas) notre clown intérieur serait genre une autre facette de notre subconscient, ou bien notre gentille répressé, en tout cas, quelque chose comme ca.

Personnellement, j'aime l'idée. Notre inconscient, selon moi, est beaucoup plus qu'une banque de désirs enfouis et tout cela, ou même des instincts primaires réprimés depuis les début de la civilisation ou quelque chose comme ca. L'évolution de notre cerveau durant les trois millions d'années (minimum) aurait créé dans notre esprit des "ghosts in the machine". L'expression vient du film I, Robot, et signifie des donnés dans un système, dans le cas du film des systèmes électroniques, dans notre cas notre cerveau, qui aurait, après avoir servi à une certaine cause, purpose, été mis au rencart, et se serait retrouvé sans utilité, mais toujours présente.

Dans notre cas, on pourrait hypothétiser que ces données, qui serait des connexions neuronales ayant perdu leur utilité, se soit créé un nouvel arrangement, une sorte de système dans le système.

Mais je suis en train de me perdre moi-même pour l'instant, feck que je ferme ce sujet pour l'instant, pour mieux y revenir. Mais j'aimerais bien découvrir mon clown intérieur, pour me connaître mieux moi-même si se ne serait que pour cela. Mais, comme personne ne sait ce qu'on a vraiment au fond de notre inconscient, si on jour vous voyez dans la rue un gars qui ressemble a Sancho Bob avec un nez rouge, un couteau à la main et qui cri FAIS MOI PEUR, ya des chances que ca soit moi :P :) lollllllll

dimanche 18 octobre 2009

La nuit, c'est profond. La nuit, c'est noir. La nuit, ca fait peur. La nuit, il fait frette. La nuit, on s'en passerait volontier. Et pourtant, la nuit, c'est le fun.

À travers ma fenêtre, la noirceur est tombée, mais tombe toujours. Loin d'être noir, le ciel est d'un bleu pâle mais profond, léger mais puissant. C'est peut-être le moment que je préfère dans une soirée. Cette teinte marque le début de l'autre côté du miroir de ma vie, après ma vie que je peine à ranger, encadrer, après les cours de la journée et les devoirs obligatoires, un temps d'oubli et de débauche, que ce soit en vedgeant sur son lit et écouter de la musique, ou bien rôder les rues et les bars. Aucune ligne à suivre, aucune règle à suivre que tu n'a pas déjà décider de suivre. La nuit, dans toute sa morbide beauté ou sa romantique fragilité, est le repaire pour ceux qui sont ou ont rejeté les bienfaits du soleil tout comme ceux qui décide de voyager à la limite, sans toutefois la briser.

On fuit la noirceur des places où l'on vit notre train-train pour aller se réfugier dans celle des taudis mental qui échappe à l'oeil vigilant du bon sens et de la civilité. On se cache dans ce désert aveugle de gens tout aussi ignorant (oblivious) des nos présences.

Et pourtant, dans tout cela, nous avons toujours aussi peur de la noirceur. L'on se réconforte dans cette peur, se disant que l'on a peur de ce qu'on ne peut pas voir ou savoir, que ce que l'on fuit durant le jour pourrait venir nous hanter dans ce paradis nihiliste.

Mais quand l'on se tient devant une source lumineuse, en plein coeur de ce monde sans couleur, l'on se rend compte que cette noirceur que l'on fuit , elle est toujours là, dans nos ombres, dans notre raison de fuir, d'annihiler nos sens et nos émotions, notre réalité. La nuit ne répresente plus maintenant les peurs ancestrales qui nous ont amenés après des centaine de millénaires à craindre et fuir sa présence sans fin, mais aussi la vision qu'a aujourd'hui un monde tout entier: la noirceur humaine, celle qui décide de notre humanité, de notre existence en tant qu'être, être qui fait parti d'une fourmilière et qui pourtant revendique une solitude mentale et physique jusqu'à la fin de tout.

Pourquoi?

2:La fin avant le commencement

Le bouchon vint se cogner sur le col de la bière, le cliquetis résultant se perdant dans le vide sonore qui s'était établi depuis quelques instants. La surface tout entière de la table était recouvert de bouteilles de bières, éparpillé au hasards, tels des cadavres un champ de bataille. Le silence pesant rompit en un fracassement de bouteilles au dehors, de jurons et des sons de fight, et dans cet atmosphère, ses paroles n'avaient que plus de sens. Son regard de seize ans croisait le mien de treize ans, perçant, pénétrant, exigeant la vérité pure, celle que personne ne veut admettre, et moi non plus.

Mais ses paroles m'avaient troublés. Dans le coeur de ma jeunesse, où le sentiment d'invincibilité est à peine refreint par la logique qu'on nous implantait, la question, non, un mot précis avais suffi à briser ma carapace.
Je ne pouvait pas trouver de réponses, aucune répliques tranchantes ne venait à mon esprit. Ses yeux fixé sur moi semblaient comprendre mon dilemme, mon embaras. Mais dans ses yeux qui réflétait une âme qui avait vieilli trop vite, et où était mort la naïveté qui survivait normalement jusqu'à la fin, je ne remarquais aucun rire, aucun dédain pour le jeune blanc-bec que j'étais, un de ceux qui parlait de tout tout en ne connaissant rien du tout. Au contraire, aucune pitié ne paraissait dans ses yeux, mais une sorte de jalousie, de désir de retourner à ma petitesse d'esprit.

De cette soulerie, plus que le mal de tête qui m'avait terrassé les trois jours suivants, plus que la punition donnée par mes parents, cette phrase était resté imprimé dans mon esprit, troublante, insaisissable.

«Continuer à vivre, pour tous ceux qui seraient morts à cause de toi?»

Dans ses yeux bleu, je me rappelle encore la pitié qui se reflétait. Pitié que je n'ai jamais pu arrêter de voir dans les yeux de tous, depuis cette journée, trois ans plus tard.

vendredi 16 octobre 2009

Lassitude lâche (ou la relance à plat)

Pour moi, la semaine des lâches semble déjà terminer. Eh oui, vendredi le 16 à 0200, je suis revenu à gaspé, avec un besoin de sommeil des plus sacrants et une haine des bus de nuits. Le lendemain (ou plutôt plus tard dans la journée), je suis encore sous l'effet du voyage, ce qui résulte pour moi en un feeling de lendemain de brosse des plus pires que j'ai jamais eu. Ca m'apprendra a tout décider à la dernière minute. Après cela, comme si c'était pas assez, je me suis rendu compte que j'ai oublié quelque importants item chez ma mère (je savais que ca allait arriver, mais ca fait chier quand même).

Je suis content de ne plus être en science pure. Eux non pas une semaine de lâche ou même de relâche, mais une semaine d'arrachage de cheveux, aux dernières nouvelles en tout cas. Mais quand même c'était bien, si on considère une chose: que cette semaine ci n'est pas tellement pour permettre à létudiant de prendre du repos, mais bien pour le pousser à se forcer pour réussir ses études. Sans vouloir blesser personne, après deux mois seulement parti du nid familial pour une nième fois, on se rend compte qu'on oubli toujours autant vite comment sa propre famille interagit entre eux (ce qui est d'autant plus vrai que je ne les vois qu'en semaines de vacances).Le temps que l'on réhabitue, il est temps de retourner dans son terrier personnel. Non que ca n'a pas fait du bien, j'ai presentement de quoi nourrir une armée de malades coeliaque (c'est quoi ça?Chercher sur le net ou attendez un peu, je pense écrire un article là-dessus betôt), et j'ai pu laver mon linge sans payer les 3,75 que ca coûte aux rez. Ah oui, aussi, j'ai maintenant deux nouveaux coats, une veste et un hood pour être exact, completement vierges (non, pas de jokes de mauvais goûts la-dessus plzz :P).

En fin du compte, la vie continue. Enfin, je pense.

mercredi 7 octobre 2009

Dans le ciel noir de nuages gris, les dorures des troncs jurent
Dans le noir d'un cinéma, une grue qui s'y penche
S'y déhanche
Revanche, échéance

Une solitude dérivé des réalités immatérielles
Que pour exister, il faut refuser
S'accabler de volonté
Renoncer, à toute volupté

Et dans le vert d'une nuit gazonnière
Quand se pleure la rosé et hurle l'herbe
Empêtré dans le vent
Dérangeant d'une seule lame

Que survive le vert raisonnement
Qui tapissent les tuyaux de la nouveauté
Dans les derniers retranchement, l'on oubli ses larmes
Et leurs cristallines lucidités

Sous le plafond désolant qui détermine nos âges
Derrière la rivière où s'écoulent les ans et les anges
Exister pour refuser, l'on se meure de refuser
Dans cet imagination, la réalisation.
Et dans leur cranes, leurs âmes qui à tout jamais
Repose, non en paix
Mais en respect

Et ce géant parmi les nains, nain parmi les géants
Qui déjà a perdu ses parures
Que lui reste t'il pour lui dire
Que voudra-t-il pour son soupir
La lame ou la flamme, l'oubli ou le repli?

Et dans une dernière bourrasque de sang
Ses mains expirent une nouvelle fois
La dernière volonté de son rang
Rabbin sans jardin, dédain sans certain

Et les pieds marchent toujours, accroché sur leur dernière flemme
Et son existence à jamais dérobé
Lui restera toujours fécond
Une parcelle de décomposition

samedi 3 octobre 2009

1:Hallucination circadiennes

Plus loin. Toujours plus loin...

La foule se sépare, pour me laisser passer, plus par automatisme que par volonté. Les visages s'interrogent et passent, un par un, leurs yeux curieux se questionnant une fraction de seconde pour ensuite redevenir vide et inexpressif. J'avance, je recule, poussé de côté, de face, de dos, toujours à contre-courant de la masse, du temps.

Les gens passent, filant tel des fantômes, vivant, marchant déjà dans un autre univers que moi. Et je court toujours, le souffle court, les mouvements saccadé. Je l'entrevois toujours, à travers les rangs serrés. Elle s'éloigne, me laissant en arrière. Elle se démarque de la foule, car ses yeux scintillent, reflétant la lumière dans ses larmes qui se barricadent derrière leurs paupières.

Ma respiration s'endurcit, mes pieds se mettent à hurler, la douleur est toujours présente. La main tendue, comme avec la volonté de toucher le ciel, je tente encore une fois de la rejoindre, mais le corps ne suit pas, ne suit plus. Les genoux embrassent l'asphalte, et dans une dernière respiration, un dernier regard, le bras toujours levé vers l'infini, la masse m'avale, m'emprisonne.

Que faire? Quoi faire, comment réagir quand son monde s'écroule autour de soi? Quand le soleil qui avais illuminé l'existence disparait à jamais dans les tréfonds de la noirceur humaine?

dimanche 27 septembre 2009

Automatisme littérien

Imaginer la scène: premier cours d'initiation au théatre (il y a un mois et demi environ), nouveau groupe, et le prof qui fait: On va commencer par de l'écriture automatique. Écriture automatique? De qu'est-ce qu'il parle? (Bien sûr, j'étais pratiquement le seul a ne pas savoir ce que c'était, comble de honte et de «WtttFFF??»)

À l'oeil néophyte, «écriture automatique» peut signifier beaucoup de chose. Personnellement, entendu hors du contexte, ce terme pourrait décrire l'extrémisation du proverbe «La plume est plus forte que l'épée». Après que les armes automatiques aient été inventés, voilà que même les langues subissent la course à l'armement? Ce sera quoi après? La bombe littéraire?(Noter que ca pourrait être utile pour instruire des villes entières). Non mais, dans quel monde vivons-nous? (Pourquoi est-ce que j'ai l'impression que certaines personnes sont en train de chercher en ce moment le numéro de téléphone pour l'aile psychiatrique de l'hôpital?) :P

Pour retourner au sujet (sérieusement), l'écriture automatique, c'est vraiment génial. N'écrire que ce qui passe dans la tête, sans penser à ce qui a été écris ni ce qui est à écrire, c'est une expérience en soi même. Mais il ne faut pas avoir peur du ridicule, car ce qui sort du crayon que tu tiens entre tes doigts en souvent très... disparate, pour ne pas dire incohérent (parfois). Mais toujours un bon fou rire après.


Obstétrique bloguienne

J'ai un peu honte de moi. Pourquoi? Parce que je me laisse aller présentement à mon petit côté mouton, en commencant ce blog. Mouton? Oui. Franchement, quelle utilité y a t-il d'écrire ses pensées et idées sur une série de 0101011001001011010110etc., dans une grande marée d'informations pareillement codé? Aucune. A part peut-être divertir quelque addicts de l'internet ou des potineux, et même démontrer en grand éclat la véracité des paroles de confucius(ou quelqu'un comme ca): «Vaut mieux se la fermer et passer pour un épais que de l'ouvrir (dans ce cas, taper) et de le prouver».

Mais malgré cela, les gens sont de plus en plus nombreux à naviguer le grand océan de l'information pour y faire flotter leur radeau de code html et de texte. Pourquoi? L'on pourrait voir dans cette situation une modernisation d'une vieille habitude, celle d'écrires des journaux intimes, mais avec une touche de modernité propre à notre société: voyeurisme. Vraiment! Quel autre terme serait plus approprié pour décrire l'action de lire les réflexions propres à une autre personne, un peu comme de la télépathie?

Aussi, il l'y a l'(a relative) incognito que procure l'internet. C'est un peu comme poser nu sur des photos tout en cachant le visage (l'analogie n'est pas très flatteur, mais elle est précise). Peut-etre que la popularité du phénomène vient de ce sentiment de....

Ok, j'arrête avant que ce blog meure avant même qu'il soit né. (Quoi, vous en voulez plus? Méchants garnements!)