vendredi 26 novembre 2010

Betissiers contextuels

Voyage interstellaire
À travers un espace sidéré
Menace exagéré
Au milieu du placard à idée

Filature. Filant à travers les points lumineux qui s'écoulent dans le sang et le vent, les gens ne font que pale figure, poing d'un sanglant et dernier revendication.

Je me tais, têtu des étaies qui s'étayent sur le long les plages doré du capharnaüm. C'est alors que klaxonne dans le vent les sirènes de sens.

La mort approche. Elle est couleur de belle famille, se sourcille dans les temps comme dans le vent.(je vais devoir trouver ce que veut dire l'image du vent; le mot revient vraiment souvent XD)

gribouillie couleur de vérité à travers les pas ensanglantés.

Les enfants pleurent, lavant un peu d'atrocité dans cet univers anthracite évaporé.
Tandis que les adultes s'amusent de plus belles à tuer leurs enfances à coups de feu et de rage.

mardi 23 novembre 2010

message aux riches emmerdeurs

Maisons, prisons mentales pour détenus perpétuels d'une vie sans détriments. Nous nous sommes emprisonné dans notre bien-être.

Et nous ne voulons plus en sortir.

Nous devrions avoir honte. Honte de nous-même. Honte de rester cacher tandis que d'autres tentent de changer les choses. Honte de les voir mourir sans que nous bougeons le petit doigt.

Nous devrions avoir honte de ne pas avoir remarqué plus tôt que tout allait de mal en pire. Mais surtout, ce que nous devrions le plus avoir honte, c'est de n'avoir pas lever le poing dès que le monde l'a remarqué.

Maintenant, c'est nous, et c'est la génération nouvelle qui a hérité de votre marde. Vous ne l'avez peut-être pas chié vous-même, mais vous ne l'avez pas ramassé, vous n'avez pas tenté d'y changer quelque chose.

Bientôt, bienvenue dans un enfer sur terre. Gracieuseté de vous, chers baby-boomers, boomerangs de la marde.

Regardez vos enfants et vos petits enfants se démerder dans un monde foutu en marde, alors que vous êtes là a vous faire poupouner, avec vos millions en banque et vos cœurs dans vos estomacs.

Vous me donner envie de dégueuler.

mardi 16 novembre 2010

Feu de dépassement.

Circulation mentale.

Une heure a n'en plus chambarder.

Frein philosophique, s'enclenchant au dernier croche.

Et apprend du coup la réalité de l'asphalte
Et le froid de la mort émotionelle
Que donner pour retourner
Avant le vol plané

Sursaut de sang dans les veines
Circulant maintenant entre les craques du béton
Dans les abysses des rangs
Suplombant les champs
de l'innocence

Le liquide maintenant nourrit à la paille des millions de gens
Paralysé par l'effacement de leurs rêves
Et s'en revêtent
comme un manteau d'or et de rang

lundi 15 novembre 2010

Nostaligi[qu]e du départ

Partir.... La nostalgie du départ. Celle de se sentir bien là où on est, face a la volonté d'avancer, de faire changer les choses...

Toute place est une cage. À force de l'explorer, l'on en connait les coins et les décombres. Et on s'y sent bien. On y reconnait chaque bareau, on y voit chaque animal, emprisonné tout comme soi... c'est une bonne choses. Mais celle cage finit aussi par devenir psychologique.

Tout problème ayant rapport aux rapports diverses avec l'extérieur est le reflet de problèmes intérieurs.

Que j'ai une "écoeurantite aigu du monde", comme le dit une de mes amies, souleve le fait que je suis écoeuré des choses à l'état présent. J'ai besoin de mover.

Voir d'autre places. Apprendre d'autres réalités.

J'ai perdu ma soif d'apprendre. Cette joie de se coucher moins idiot, réellement.Peut-etre parce que on est rendu au stade de mettre en pratique, plus de connaitre de nouvelles choses.

Je m'en crisse du théatre. Totalement.

J'ai besoin d'un n0uveau terrain de pensée. D'une nouvelle réalité à déconstruire et rebâtir. J'adore cette vill[ag]e, mais je me suis emprisonné moi-même dedans.

De partir ou de rester, quand les deux vous amenent à vous déchirer..... «Between two evils, pick the one you never tried before.»

Bientot, live de la ville, d'une ou d'une autre.

vendredi 12 novembre 2010

Angelot de sables

Paix
Morceau déraciné de réalité
Invariable bâtard de la tranquillité des maux

Comprendre
Semblant d'intelligence invectoriel
Perché sur la traitrise des sens.

J'ai un problème avec les anges. L'image est forte, détruisant tout sens intérieur.

La beauté des anges. Leurs innocences. Dernier reflet de ce qui, finalement, fait de nous des êtres humains.

L'humanité.

Maudit soit celui qui fait couler le sang des anges.

Et qui en piétine l'innocence de leur mépris.

Approchez, bêtes de foire. Votre heure démange de se donner la chance de dévorer vos dernières ressources psycho-coincidental.

Et les gravats s'accumulent dans les cours à scrap des automnes matinals dérangé.


jeudi 11 novembre 2010

Hurle le vent et déchire la tempête

Es musicum disparatum
Le mal-être n'est que passager
Concitoyen concalcitrant d'un univers conifié
La connerie justifie notre stupidité
Notre stupidité justifie leurs actes
Leurs actes justifie notre santé
Elle qui sacre le camps au plancher
piétiné par tout ces mordus
De la logique et du sens
Sensible illogique
à la raison des sens

Craque de lumière
Au bout des seins
Cachés des sens
Par le derniers
Des retraités
D'un gros bon sens
Sens ni noirceur

Sept
le chiffre recalcitrant
Qui ne fait que citronner
Ses voisins de chambre

Rouge sept bleu vert vermeil orange organe rouge douze

Pénétration directionnel si il le peux
S'il le doit
Même dans le dernier des rangs
Terre bétonneuse et sans selle
Celle sans d'elles

Carré obscurcis par les magnitudes de sangs
SS
SEDR
WEWADFCZX
ererrret425fse35qt

Mascarade d'un univers sans pardon
Sans amour ni ambition
Embarrassé de son entourage
entouré de ses imbécilisages

Sages imbéciles
Ils ne veulent qu'oublier leurs humanité
Humainement stupide
Scientifiquement dérangé
Religieusement stupidisé
Le déclin d'un empire
Qui s'y croit encore

Débridé, d'un univers, déchiré

Embraser le ciel
Paille a la main
D'un coup vermeil
D'une coupe de sang
relique des temps agées
De gens oubliés

Sur-mise des ans
Sur la terreurs des fléaux passés
Les murs s'entrechoquent de leurs vent
Dents aiguisé à la pointe de la haine
déchainé entre port et bateau
Un univers à la dérive
Un continent en train de sombrer

Le mal, d'un orchestre en pleine possession
De leurs ancêtres
Opinion dépassés par leurs propres préjugés
Chargé à blanc de reliquat d'insensibilité
De haine et de subtilité
Atroce
Image flambant d'une carte postérieure

Dérision subtile d'un univers dérangé par sa propre existence. Malade d'envie à la mort des autres, ils s'enferment dans le chapiteau de la folie, s'embarrent dans leurs restes d'existence. Celui qui tente de vivre finir toujours par trouver la mort. Celui qui survit, à t-il déjà été vivant?

Absolution condamnable
D'un péché inconditionnel
Hurlement, des saignements
Et un dernier jugement
Sur les pauvres et les parasites
D'un univers en pleine subsistance

Les murs blancs l'entourent, le détournent de son masque. la folie en est réparatrice, et la vie meurtrière.

Vivre et mourir la vie des hommes
Dans la sagesse des morts
Et les pépins d'une pomme
D'or et de savoir
Connaissances amenant à la chute

Illuminé d'une monde en train de s'éteindre. Pour quelle raison est-il la? Pour quelle facette se pourvoit-il?

Le sable en enleve toute trace, et le temps tout souvenir.

mardi 2 novembre 2010

Ce ciel si bleu, je veux l'arracher. Ce ventre si plein, je veux le vider.

Et que rien ne subsiste.
Pas même l'ombre d'un espoir, ni le poil d'une conscience.

C'est dans ces camps, champs d'abandon
Que se coule le fiel et le repos du reput
Sans se questionner sur le torrentiel d'une accréditation
Et le museau d'une sérénade
Se plisse en sentant la sueur
Tachés de cruauté et obscurcis
Des restes de l'humanité
Qui continu à se désagréger
Dans ces coquilles en formes d'humain

Et c'est demain, toujours demain
Que se passera le flambeau de l'espoir
Et ce sera toujours après la prochaine passe
Qu'on l'allumera enfin.

Le potentiel d'un sang qui a oublié son corps
Et d'un ange qui dès sa naissance
s'est fait coupé les ailes à coups de réalité.
Mort et enterré dans le trépas de nos vérités

Carotide d'un aorte centrale

Intellectuel dérangé en train de fomenter sa pensée.

Lumières sur un parchemin de serres et de sang.

Qu'une dernière languée pousse à courir sans s'enfuir.

Le monde est mort. D'une belle mort. De la mort que nous voulons tous. Celle qui n'arrive jamais. Elle n'est vieille que de nom, et c'est dans son cran que se pousse les derniers pissenlits du bon sens colérique.

Et les murs sont plus blancs que jamais, emprisonné dans un pyjama sans imprimé ni condiment. Que se travestisse les ages pour que demain, s'agenouille d'un air pitoyé l'allure déraciné d'une cingée dérangé. Cinglé cinglitude d'angleterre sans angles graves ni aigus. On pousse les aigles à arithmétiser leurs vols de facon à promouvoir le plumage des anges sans terres ni couronnes.

Dépassement prématurés de ceux qui ne sont par encore né dans les cavernes d'ors et d'ébènes sourcillant tout la logique d'un génocide intellectuellement véhément sans réciprocité de la part du physique brailleur. Le monde, ce monde, du monde qui se cache pour mieux se retrouver, perdus dans les cylindres de la vérité qui met son moteur en marche pour mieux pouvoir broyer ce qui reste de l'intellectuel paresseux mais conscient.

Qu'on se le dit ce n'est pas qu'on a une tête qu'on sait s'en servir. Elle ne sert qu'à déraciner jusqu'au plus profond des cadets de nos soucis, alors que leurs aieux jouent à qui veux mourir dans les tranchés de cette puanterie cadette d'une fourmi deraciné d'une souche qui n'en peux plus de s'émerveiller de la vitesse de la destruction puéril de son existence maudite par sa sainteté.

Je m'en vais dans le fond de l'enfer, c'est là que réside le passage vers le paradis éternel.
Enfer d'un univers à peine perdu dans son lavage de linge en famine, ceci n'est pas un exercice.

C'est un appel à l'abandon.

Ceci ne l'est pas. Ceci est un appel, ceci est un regret. Ceci n'est pas un exercice.

Pour vous.

Le soleil me sourit de plein gré, son ventre engraissé de sentiments.

Ceci est un exercice. Ceci ne l'est pas. Ceci n'est pas cela. Cela est-il dernièrement marqué?

Pisse donc desssus, qu'on puisse l'engranger dans les souvenirs de la conquète.

Je m'éteins du soleil plein la tête, une larme têtant le passage de la carabine à travers ces chairs si voluptueuses qui se coursent autour de mon esprit.

MAis le pied s'en prend le plein potentiel d'un soleil à peine déraciné.

Cela n'est pas un exercice. Mais vous êtes des pantins tout de même.