mardi 25 janvier 2011

Partage, portage potironné à coup de chaudron.
La caf s'en faf des rafs qui l'af sans daf.

Mais l'oubli n'en est que substantiel. Les profits sont gages de mépris.
Souris. L'éléphant n'est pas loin, et l'âne n'en a que perdu sa tête.

Didacticiel sans commencement. L'on est enfermé, enfanté dans la cage d'un solitude substantiel.Surenchérissement, la vérité n'en est que plus belle taché d'un peu de dramaturge licencé à coup d'insultes dans le bide de son estime de soie.

Et les tempêtes meurent avant que le vent se soit cicatrisé, laissant des plaies béantes dans le noir d'un après-midi perdu parmis les gens et les avirons des avions qui se noient dans le brouillard d'une existence sans conscience propre ni sale.

La volonté est faite en terre mais au ciel, les anges s'y pleurent de joie si profonde qu'elle transcende l'innocence blessé par l'opinion des critiques sirupeux.

Puissent le paradis les pardonner, même l'enfer ne veut pas de gens de son engeance.

Pris en miel et fer. En terre et serre. Le monde n'y est qu'un doux emballages chocolatés sans marges ni nue.

Et la réalité s'en prend au président d'autrui, car les cochons n'en peux plus de brailler sur leurs maigres pitances.

La terre en héritage au belles bêtes de sommes que nous sommes. Consommons, messieurs sans derrière mais où le devant se balance postérieurement, dangereusement.

Sans caleçon pour le tenir, le biberon tombera dans les nuées dégénérescentes et enlevantes qui se captivent à tout gober. Sans surréalité.

La beauté est plus belle morte et enterré.

Miracles porticiels

Sulfure, le danger des regards sans laisses. Le convaincre du bonheur laissé, lassé, par les autres qui n'en veulent qu'à leur propre tête.

Cannibalisme narcissique. L'entre-dévorer entre les deux oreilles pour en avoir plus entre les deux jambes.

Vendre la peau de la chèvre encore dans le ventre de l'ours. Et y dépecer l'entraille d'un rêve encore sanguinolent.

Les murs blancs se dédoublent à perte de vue, à se perdre de vue. Les yeux s'y fixent tel des synopsis sans sujet, buts sans aspirations. Que se fermentent la gueule d'un bêtiser qu'on puisse y déverser tout son devoir et son savoir.

Cannibalissique. la beauté d'une mort pour une même mort de l'espèce. Les tangentes s'y déjantent, à former des dirigeantes.

Sans dirigeables affirmés.

Et que se trahissent dans le vent des marches la marcherades masquerades en forme de lucioles qui s'illuminent en tournementant les messages d'un apoclyévèque se paracheminant dans la prostitution morale d'une ethnie sans soucis des raisons fidadescales qui la poussent à s'enparfumanter sans situation critique.

Les craques laissent fuir la lumière dans la noirceur, se démentant de l'amener à un désastre imminent. Mais les dés roulant entre les cratères se fulminantes bien de pouvoir se déchromatiser au rythme des ballets qui époussettent les valeurs déjà moribondantes des sultanites qui se croient maître de leurs destins. Que les mensonges en avalent la vérité, laissant derrière un squelette sirotant quelques pauses secondes sans premières secondarités.

Mais le vent s'y éternise, tourmentant les anges qui passent tel un coup hurlant dans l'abîme des solénoïdes.


mercredi 19 janvier 2011

Meurtre à condition

Nouvel environnement
Dans un parterre déchu
Sans relation avec quelconque lieu
Perdu dans la réalité d'un chaste
Dés à la poursuite de l'astre

Miroir d'un intellectuel subordonné
à la vérité désaxé
Sans pôle sur qui se retrancher
Dans le corridor sans sens ni entrée
Dans l'arène sans corridor
Siroter le caviar de la pensée
Dilué dans le bêtisier

Dans le sorcier, un art
Qui se perd à se retrouver
Dans l'annihilation de l'humanité
pour combien détrompé
L'ange se coule dans le béton des ans le cercueil
Son innocence s'y couchant pour mieux s'y rabaisser
Une mort qu'on ne veut pas avouer

Et le sang forme dans le sable des miroirs
À la chaleur de cette haine qui réchauffe le coeur
Et détruit les poumons
Dans un nuage de mensonges, la vérité coule
Comme un son, dans le fond
L'hurlement toujours plus fréquentiel
Dans le différentiel du calcul mental
Mentalement asséchée
Courageusement désavoué
L'exemple sert de martyre
Et la croix n'en est que plus somptueuse
Pour ce chanceux qui s'en va courir
Pour le plus gros nombre d'écouteur
La quantité est toujours mieux que la qualité
Dans ce monde où l'excès n'est que réalité
Et où les files ne font que s'agrandir
À la demande de l'entité populaire
Sans regard à l'identité solidaires

Se trucider pour mieux apprécier
L'absurdité d'un monde en pleine conversion
Données copier-coller pour mieux différencier
Ceux qui se doivent d'être annihiler

mercredi 5 janvier 2011

Si, Sie, Scie, Sci, Sci-fi sans fi

Les mots décantés fermentent
Dans le jus de mon inconscient
Fermement, tristement
Écoulement nasal au bout de la seringue

La vitre laisse transparaître les démons
Dans toutes leurs sanctités
Sous leurs lourds manteaux blancs
De vices et de regrets
Blanc comme la neige qui détruit des vies
À coups de billets et de trafics

Bags are all that's left
In the white hell
Green and brown is all
they're looking for

Leurs vies, ils n'en ont plus de souvenir
La mémoire en est achevé, deux trous pour la laisser couler

To walk the thin white line
Often mean to end up
Walking the thin red one

samedi 1 janvier 2011

Vidange au fond des précipices
Auxiliaire terreux, poussièreux
D'un verre sans lunette
Sans escampette
Vie d'ange, vidangereuse
La poubelle au nom de la science
De la mécréance

Visionnaire
Sans terre où aller flotter
Sans population à aller polluer
De son bon sens névralgique
Démagogique
Un oeil voyant au milieu des aveugles
Ne fait aucun bien avec une bouche cousu

De fil en fils
De rage en âge
Nous nous établissons
Dans les ruines des carrelages
Au bon sens ensanglanté
À la blancheur immaculé
Mais toujours aveugle

Au ventre vide de sens
Plein de mensonges
Nourris au rebus
Des derniers cadavres
D'intelligence

Soudain, souris
Au milieu du compost philosophique
Sourire, les dents irradiés
À coups de mentalitaires
Bonimenteurs à la solde des parlementeurs
Menteurs sans décence
Ni déchéance, si ce n'est dans la pensée
Que demain ne mérite que d'être piétiné