samedi 22 décembre 2012

I've forgotten to see the world through my own eyes
Trusting what I've been told to learn
To understand and to see my life through
And when all came crashing down
Times and times again
Forced to see that something ain't right with me
And the answer just came up of itself
The problem was in me,hiding my head
All these ideas of wanting it all
These things you don't even need
Just for the sake of being the same
As the others, wanting all they have
Without ever being what you are

With enough thinking, you may be able change the world
But you can sure as fuck change yourself
You don't have to believe, you just have to act
Truth will find you, in time
Your own truth
For your own life.

vendredi 30 novembre 2012

Let the world burn.

"Let's live like monsters and die like monsters, to be the ones to destroy the world, to let others be able to rebuild it, because, remember: those who will destroy the old world cannot create the new one. And those who will build the new world must not have blood on their hands. If they do, they will only rebuild the same system we are trying to break apart. So let's kill, destroy and rip apart the old system, for the sake of a new world, a new peace that we will never know. Let the world burn, so that the grass can grow again."

mardi 16 octobre 2012

As I drink, as I got drunk.

Trying to be good, trying to be what you can while letting other on in your life, it cant work it seems. Nothoing brillant, just a false idea and a good illusion to lead me on. There is no serial stupidities working this way, only men and their half truth lies.

Couldnt stand where I thought I ought to be standing, instead I find myself stupid and blind, enough to believe what havent been said. Kindly stupid to believe happiness was in the end, a choice. Happiness is a fairy tale, and those who spun it are the one living on it.

There is no choice. There is no nothing. There is but a man trapped in his own head, and there was nothing people could do for me. Nothing at all.

A broken man would have a better chance to get back on his feet, but my wings are not broken, they are already burned out of my mind. There are nothing left for me to cry but tears head-on, then going back to the death of the usual life.

Once in a while, trying to be in a better state, a better person, just to try to be happy. Because we cant live alone, they say. Well, looks like the only way I can live is alone.

vendredi 28 septembre 2012

Mouvements dans la mémoire
La réalité s'endort
Sous un parfum de briques
Empillés au palier

Le mouvement songe
Dans ces idéaux
Qui ont forgés la réalité
Sans toutefois l'empirer
Une seule idée
Pour tout déconstruire
Voilà leur idée
De modernité.

mardi 7 août 2012

Regard sous roche

Long, comme le temps qui a passé, lentement, à travers les filets de notre mémoire, laissant s'accrocher les débris de ces moments que l'on ne voulait pas se rappeller, à travers la brume du passé, notre cerveau fumant de ces tentatives de tout se souvenir, au prix de la paix intérieure.

Les chemins demain marqueront de ma haine leurs ancres, pour mieux attacher les voyageurs à leurs rêves perdus au milieu de tout ces ans qui se rattachent l'un à l'autre de leurs pas chambranlant dans l'abîme du futur, les yeux en pleurs de n'avoir plus continuer à regarder brûler le feu de leur jeunesse, obligés à avancer à travers les ruines que chaque génération laisse à la prochaine, héritage empoisonné les forcants a retomber dans le même moule pour continuer à vivre, les modèles devenant unique à chaque fois, une seule façon d'appréhender le réel.

Pour en oublier la honte de faire partie de ceux qui ne veulent vivre que pour eux-même.

Alors que j'ai la haine de cette existence qui est la mienne et la notre, ceux qui ne peuvent vivre que pour autre chose que soi, ceux que leurs pas refusent d'aller dans la lumière sans but, mais qui se promènent dans la nuit sans problème alors que leurs yeux ne veulent que reflêter la douceur d'une tranquilité, la beauté d'une âme proche.

Mais tout cela pour moi semble utopique.

Le rejet est toujours dans mon sang.

Des morceaux d'années en lambeaux, laissés à eux-même pour aller se fabriquer un simili de vie, sans compter tout ce qu'on perd sur ce chemin sinueux qui finit toujours par prendre un détour vers le pire, même sans aide. Pour mieux revenir sur le chemin.

Le doute tue. Tue l'oeuf qui ne sait pas ce qui se cache dehors de sa coquille. Tue l'ange, non sur de sa pureté. Le rend humain. Pour mieux lui faire oublier ces ailes qu'il n'a jamais eu, lui faire oublier ces mots qu'il n'a jamais entendu.

Le regard pleure toujours, ces larmes sont chaudes, mais ses émotions sont froides. Perdus comme lui, éventré comme mon existence, à se balancer d'un plateau, ne voulant pas s'assagir, mais voulant continuer à vieillir. Quelle ironie que ces yeux qui me scrute à tout les yeux ne soient que les miens. L'être humain, l'animal social en moi,  m'as trahis.

Ne voulait pas de mes réponses. Mais ses questions n'étaient pas à ma portée. Je ne pouvais que fuir. Je ne peux que fuir.

Encore? 

Qu'est-ce qui a changé? Mes mots ne sont plus pareil, mon âme a vieilli elle aussi.

Mon esprit, quand à lui, est devenu cinglé. Veux prendre le bord. 

Sans oublier la vodka.

Mais le regard. Toujours le regard. Ce regard qui me tue, qui me hante, je voudrais qu'il ne soit pas mieux. Que je puisse le détester, tout comme je me détestais avant.

Un regard à aimer. Une âme à cajoler. Une vie à donner à quelqu'un qui en vaut la peine.

Et parfois, je me dit que peut-être, pour moi, c'est déjà trop en demander.

jeudi 10 mai 2012

Acrostichisme dogmasmique.


Colère, j’en ai, le cœur pompant dans le vide de la haine
Honnêteté, à en couler dans le plomb, fuir dans le fleuve
Rougir, et souffrir sous le vent à en écouter la complainte
Ignorant les règles pour trouver le sens
Sous la coupole de ma tête, le temps ne veut s’arrêter
Tout continue à s’emballer, je recherche ma fin
Où tout est noir, couleur de l’espoir
Pour mieux en raconter le goût de sang qui reste dans la bouche
Horreur qui ne peut que finir mal
En acceptant ma noirceur, retrouver la lumière qui s’est perdue.

mercredi 29 février 2012

Sous-fifre!

Je t'en est éloigné, de l'enfer comme de la liberté, ces actions corruptrices
Je suis ton mal comme je suis le bien qui éclipse le soleil et cache les cicatrices
Je rie de ta gueule pour te faire montrer les dents
Pour mieux t'envoyer en prison et en rire dans les garden partys
Tu n'est que compost pour faire grossir les moutons
Leur faire peur pour leur montrer le droit chemin
Les amener a rester en ligne, pour que mieux
Bêlant, rechignant, ils traversent l'abattoir
Les bouchers l'innocence à la main
Pour mieux produire le miracle humain
À moindres coûts.

mercredi 22 février 2012

Mémograscites

L'ange du moment est passé
La théière s'est tu, faute de poussière à ramasser
Dans ce meilleurs des mondes
Les gens ne sont plus du monde
N'en font plus parti
Pas plus que le reste de l'univers
Seul importe pour la tête
Le vert de l'argent, le gris du fer
Et le rouge du sang qui coule
Pour leurs péchés
pour leur croyances
Dans leurs yeux pleins la panses
Mieux vaut nos vies que les leurs
Car eux n'en ont déjà plus.