mercredi 30 janvier 2013

3.4...e52.d4

Les répits, finalement, n'ont jamais la vie longue. C'est peut-être par rapport à la facon dont on gère notre cerveau, peut-être est-ce un failsafe pour nous empêcher de tout oublier, dans le bonheur d'être loin de toute source  de production, redevenu qu'un pion sans importance, sans connaissance de jeu endiablé qui finit par te prendre la vie, d'une façon ou d'une autre, sous les dettes ou dans les guerres, la monétisation de l'exuistence pousse à la production de monstres pour le bonheur de nos comptes aux caimans, qui se noit dans l'argent produit dans le pluis productif des habitudes humaines, la guerre.

L'homme devenu produit, face a son propre gouvernement, la tête n'a jamais tort, avec sa botte armée dans la gueule, tu la prendras toi dans le cul, payer de quoi tuer ses voisins, au nom du prochain qui se transforme en économie, nouveau dieu internatonal, pour qui l'ont tue à tort et à travvers. Même Hadès n'aurait mieux fait, la guerilla de dieux de la gachette, proclamé main armée de la tête, une balle à la tête pour mieux se préparer aux nouveaux pouvoirs qui viennent changer la donne, redonner au monde un blason de sang et de feu.


Lentement l'horreur s'intensifie, jusu'à lui donner une nouvelle signification, une nouvelle limite à atteindre, pour continuer à en tester la ligne qui sépare l'humain du monstre qu'il devient sous pression et dans la confusion, jusqu'à en gouter le plein parfum de folie qui teint d'une beauté indicible l'horreur comme en le nom de la survie.

Devenir monstre sans perdre l'humain, la mort comme un autre chemin, destins pris dans la croisée des idées qui font feu sur tout ce qui ne veut pas être le même. qu nom de la gloire, quand au nom de la continuité on tue et on viole, la nature humaine que l'on nous tentent de nous faire croire comme naturelle, pour se pardonner de le faire de son propre pouvoir, assouvir sa volonté de faire souffrir ceux qui peuvent etre torturé, parce qu'ils étaient là.

Les monstres, ils se sont cachés, leurs positions leur a révéler qu'ils ne voulaient pas d,'être humain, se donnant à leurs pulsions de pouvoir et de destruction, tandis qu'on les regardent de loin et on ne tente même pas de rectifier cela.

Les monstres sont là.

Caché dans les bureaux de président et de hauts-fonctionnaires. Dans la police et dans l'armée. Là où la position donne pouvoir, où le pouvoir sert à détruire.

Eux seront nos ennemis.

dimanche 6 janvier 2013

La rage
La rage d'aimer
La rage de vivre
La rage de pouvoir continuer
Sans jamais s'arrêter
La rage dans les yeux
De ceux qui n'ont plus rien a perdre
Plus rien a gagner, non plus
De ce système
La rage et sa couleur
Vermeille et brûlante
À L'intention froide et calculatrice
La rage jusqu'à en étre écoeuré
D'être enragé
De voir tant d'horreurs se passer
Au nom de notre très chère liberté
La consommation nous a rendus libres
Libres d'être ignorant
Libres de faire notre petit train train
Libres de nous mentir à nous-mêmes
Pour se faire croire que tout va bien
Malgré nos émotions qui s'enfoncent
Dans le grouffre
Étouffés pour permettre
À cette société de continuer à dévorer
Le monde dans lequel on peine déjà à exister.