Saoul d'aplomb
Quarante-cinq dégrées de profond
Dérangé, scientifiqué
Je me mémorise ces lueurs de vanité
Ou se cache ces derniers gens
Qui regardent de loin la lueur des boréales
Espérant leurs désirs vrais
Et les dieux dans leurs paradis, mécontents
Nos voulions tant de tous cela
Même si a travers les voiles
L'on se cachaient tout nos inspirations
Je coure après les fantômes du bonheur
Reflété à travers les beautés de mon paysage
Et le malheur de mon karma
Que je soumet à ma propre volonté
Mais en même temps, je désire ces corps
Même à travers mes cauchemars, mes délires
Et pourtant je veux toujours me libérer
De ces démons du passé
Pourquoi ne puis-je pas
fuir ces délires dépassés?
J'aimerais pouvoir tout mettre au clair
refuser mon passé, accepter mon futur
Et même pousser à sa limite
Les dernières volonté de mon rêves
samedi 26 décembre 2009
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