Le ciel hurle dans son sang
Les vents qui caresse le temps
D'une dernière plongée
dans l'abime des pestiférés
Quand se rejoint entre les âmes
La surprise d'une défaite imminente
Sensibilisé par toute ces morts
Qui illuminent la nuit
Et les canettes s'empilent
Et les bouteilles se cassent
Tout au fond, toujours bon
Goutant le sang qui perlent de nos doigts
Et dans un dernier sursaut
Nos yeux deviennent couleurs sang
Un avenir pour ceux qui n'en n'ont jamais eu
Dans la violence et l'ignorance
Mais mes mots s'emmêlent et se démènent
Dans l'abime des émotions
Où hurle le sang, toujours
Quel est ce vent qui fouette les gens?
Quelle est cette lueur qui éclaire les cœurs enterré?
Quelle est cette ombre qui cachent la lumière
De nos yeux déchirés entre réalité et illusions?
Quel est ce vent qui nous détourne de la lune et du soleil?
Quelle est cette rumeur qui nous poursuis et nous salis?
Pourquoi est-il ainsi
Que le monde ne veule pas mourir
Quand ils tuent joyeusement
Les racines d'un espoir lointain?
La lumière au loin dans le tunnel de nos âmes
N'est que la réflexion de la naïveté de nos cœurs
Et dans le silence suivant la réalisation
L'univers tout entier pleure
Pour le sort de ceux qui n'ont jamais
Voulu exister
vendredi 7 mai 2010
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