La police me merveillait, soutirais-je. Les vandales s'y surprenait.
Et courir ne pouvait plus y revenir. Que de merveille pour un apostoite fécoidal qui se démangeait au fur de la calotte et de la culotte.
Et je continuais à courir.
Les sens m'ouvrait des portes qui se revendiquaient le droit de se refermer à mon usage, sans que ma raison soit mise en cause. Parlementant, le gouversement se voulait tenant, mais les usages voulaient que demain revendique avant hier le droit à l'exclusivité temporelle. Bordel de système carcéral.
Et la culotte de cheval faisait toujours à l'épervier. Mes pieds prisent une pause, les jambes s'y perdant en excuse. Mais cela ne servait à rien. Ils me rattrapait.
Et finirent par me dépasser. Je laisser sortir un chapelet qui se mit à jurer, et pousser mes pieds à bouger. Ils restèrent bourrus mais m'écoutèrent. Pour une fois. Deux fois. Trois fois. Ils réfutèrent le quatrième pas.
La crevasse était plus gigantesque que jamais. Chambranlant, je tentai de l'intérioriser, mais elle était trop immense pour mes petites neurones. Je fit appel au son. Qui me retorqua et allait se renflouer.
Mauvaise journée. Le matin n'en fesait plus de vouloir me décupidonner. Je n'en voulais plus, je voulais juste le jeter à la poubelle. Mais elle même faisait une indigestion. Les tacos de hier avait passer dans le mauvais sac. Celui du refroidissement. Brûlure au vin, degré scolaire.
Je laissai tomber et alla me griller une toast. Elle ne put que me décourager. Même le beurre voulait la manger. Je ne plus rien dégoutter de la journée. Même l'enfer était humide.
Je retournai dans mon lit, à mes rêves de faits. Mauvaise journée, la lumière s'y noyait aussi.
mardi 22 février 2011
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