On se marche sur les pieds
Dérangé
Obligé
Futilité
Quand se dépasse et surpasse la lumière verte
Caressant le pneu du moteur
Une mélodie des moins romanesques
Mais toujours aussi enchanteur
Et d'un main on tranche la gorge
Du passé pour mieux révérer le futur
Qui s'en maudit et en déduit
Qu'une fourmi peut bien d'elle-même
Détruire le travail d'une nation entière
Et dans un dernier soupir, et son cœur qui expire
Elle nous maudit, nous géographit
Nous canonise, nous répudie
Elle se canarde aux milieu des outardes
Le vent sifflant toujours à la porte de la fenêtre
Illustrer, dévisager, embellir
Une réalité qui ne se fait que futilité
Dans l'ombre d'une futilité
Qui s'exclame réalité
Et l'on se meurt de se voir mourir, mais l'on rit de les voir périr
Jusque dans les cachots des dernières paix
Et des derniers jarrets
Potence, démence, revanche
Je me meurt les oreilles emplis de vide
Et survit dans l'Atlantide
Cachets décacheté cachetant tant de secrets
L'on s'invite à cette ronde infernale pour mieux y échapper
S'assurer que l'on ne peut que réaliser la vérité
D'un monde qu'on considère déjà sans possibilité
Curahee s'en réclame, donne moi une lame et je t'emnène
mercredi 28 octobre 2009
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