lundi 11 octobre 2010

parlotage dérangeant d'un univers dérangé.

Vitre.
Univers délavés d'un marchand ambulant de plaisir qui se plait a dévêtir d'une pure robe blanche les jaquettes noires de ce monde.
Monroe se roule sur la jennifer d'un marc qui se bat pour sa belle lavande sans savoir que janvier mourra aussitôt que se recouvre mars de nénuphar.

Marie est morte en mai, mais elle revit en septembre. Que douce est son plaisir de mourir les gens d'un age fraternel et fratricide.

Et c'est dans le sang que se boit les derniers bouteilles d'un cru déversé par la montagne d'os. Singulier renforcement de gens dont la seule utilité est d'utiliser le monde a son essieu.

Marche, marche, les douces marches de l'escalier des rêves, ce sont ces jambes qui font rêver les gens qui carburent au sang et qui croit le leur plus puissant que le pinceau ou la plume du faucon. Singulier errage d'un erreur erroné depuis le début du codage. C'est pourquoi le noir du chemin se prétexte un torticolis pour pouvoir descendre la vérité d'un aile bien dessoudé.

Marques. Marseillaises enrobés de filins d'espoir que celui de ce soir serait plus vrai que celui de demain, ou peut-être que hier marquait la fin des arrangements funéraires pour son innocence désaxés qui se camoufle en naïveté.

Et tire le fusil de la jeunesse, que la vieillesse réplique avec une salve de postillons au caractères enfantins, d'une enfance qu'ils se sont effacés puis recréé pour pouvoir tenter de comprendre la couleur de la vision de leurs futurs.

Mais la vitre à travers laquelle ils transfixent le visages de leur dépassés.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire