jeudi 11 novembre 2010

Débridé, d'un univers, déchiré

Embraser le ciel
Paille a la main
D'un coup vermeil
D'une coupe de sang
relique des temps agées
De gens oubliés

Sur-mise des ans
Sur la terreurs des fléaux passés
Les murs s'entrechoquent de leurs vent
Dents aiguisé à la pointe de la haine
déchainé entre port et bateau
Un univers à la dérive
Un continent en train de sombrer

Le mal, d'un orchestre en pleine possession
De leurs ancêtres
Opinion dépassés par leurs propres préjugés
Chargé à blanc de reliquat d'insensibilité
De haine et de subtilité
Atroce
Image flambant d'une carte postérieure

Dérision subtile d'un univers dérangé par sa propre existence. Malade d'envie à la mort des autres, ils s'enferment dans le chapiteau de la folie, s'embarrent dans leurs restes d'existence. Celui qui tente de vivre finir toujours par trouver la mort. Celui qui survit, à t-il déjà été vivant?

Absolution condamnable
D'un péché inconditionnel
Hurlement, des saignements
Et un dernier jugement
Sur les pauvres et les parasites
D'un univers en pleine subsistance

Les murs blancs l'entourent, le détournent de son masque. la folie en est réparatrice, et la vie meurtrière.

Vivre et mourir la vie des hommes
Dans la sagesse des morts
Et les pépins d'une pomme
D'or et de savoir
Connaissances amenant à la chute

Illuminé d'une monde en train de s'éteindre. Pour quelle raison est-il la? Pour quelle facette se pourvoit-il?

Le sable en enleve toute trace, et le temps tout souvenir.

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