mercredi 11 novembre 2009

(attention, écriture automatique. ce qui suit peut ne pas faire de sens
lire à vos risques puérils)

c'est cette dernière phrase, ce dernier mot qui blesse le plus dans le labyrinthe des horreurs qui trécoulent sur le pendentif des relaches. Et dans le sécrétariat déshumainement débaptisé réalité, l'on attend en fils une conversation qui se relachera quand demain leguera sa place à hier et que l'hiver sera toujours plus encombrant que le fils de religion qui s'écrache et s'arrache les derniers sanglots de leurs dieux maudits. Caractérisant les manques de bras et de ventre, travaillant pour la reconstruction d'une plage de feux qui cachent les horreurs torrentielles des confins matérielles, l'on se dirige vers la fin, le dirigeable prêt à cracher son petard, a incendier la mer et écraser les montagnes.

Sur le devant un cheval, sur le derrière un postérieur, tout aussi secret que leur dernière promenade. L'on se murmure à l'oreille, et l'on se vante des conquêtes appréciés par les gens du postérieur, ceux de l'intérieur et même ceux qui ne veulent que des dessinateurs. Pourquoi se vouloir à soi-même quand son intello le fait si bien? Si dans le creux de la vallé, la naissance s'y fait naitre, la mort doit s'y rendre pour baptiser les nouveaux nées avec son sceptre de sang et de caillot. Peu-être aussi dans la rage qui l'effleure et demeure, l'on se doit de batir une forteresse de glace et de sens, sans peut-être pour une fois y verser du sang et du vin, dans la crypte ou tout est né.

Mais le soleil s'en fait toujours plus forts, et les images en masses se cachent les unes des autres, cache-cache intérieur. La dorure s'en prend à la noirceur, non pas pour la faire fuir, mais pour l'embrasser. De tout son sens, le soir fait place au midi, et le matin, indigné, s'en va bouder dans le coin de la lune pendant que le soleil se proclame destructeur et menaceur. Peut-etre voulaient-ils toujours devenir un, alors que le schisme qui partour le ciel se range dans le sang coulé depuis le debut du fini et de l'infini, toujours inachevé. Le dernier scarabée est déjà tombé, le dernier tombeau scellé. Et dans l'horreur du cri levant, l'on se fige avant de mourir, un sourire béant dans la face.

La clôture qui nous enfermaient s'etait enfin brisée, et dans notre débauche nous nous sommes rendu compte que le dernier des anges n'avait pas voulu de la mort mais l'assonbrissement des gens parcouru son sang et son rang.

Et maintenant nous nous infiltrons de l'autre côté de la rue, du mausolé des âmes.

Gloire à celui qui nous à créé, pauvre crétin, il n'a jamais su quelle connerie il a engendré.

Mais les monts s'empilent et les plateaux dérangent. Dans le nouveau monde des hommes, les femmes ne sont toujours pas présente. Dans le monde des femmes, les homme sont tout autant dieux que rivals, déesses qui ont refusé de reproduire l'erreur d'une sibylle amoureuse. Les hommes ont du cran, dit-elle. Ils ne savent juste pas quand l'arrêter. Et ces lumières, si allechantes, qui dansent et parcourent les silhouettes des monstres métalliques, ne sont-ils pas découvreur de nouvelles horreurs?

Dans un sanglot criant, l'aigu hurlement des ans se mêlent aux dernières plaintes animales, et alors que l'on trucide froidement nos dernières pulsions bestiales, l'on se cachent les yeux et se bouchent les oreilles, la bouche grand ouvertes dans un dernier sursaut d'espoir.

Car on ne peut pas vivre sans passé, mais l'on peut toujours exister sans futur.

Et dans le dernier tutoyement du vent, la caresse se métamorphose en gifle, et d'un seul homme, tout ce qui était éternel tomba.

Et l'on se trouve désormais sans tutelle ni vignes, les ruines qui s'entourent de champs de blé et de vent.

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